Escapade au marché (réservé à Annala)

[HRP] Après le passage à la forteresse [HRP]

A la suite de sa petite escapade à la forteresse, Tapéshûr ressenti la faim lui tarauder l’estomac. Il en arriva donc à la conclusion fort pertinente qu’il avait faim. Il dû alors déployer tout se qu’il avait d’intelligence, ce qui n’avait pas mis trop de temps, pour s’efforcer de sortir la brillant idée d’une petite visite au marché pour trouver de la nourriture.

Quelques encablures plus loin, mais traversées en environ une heure ne savant même pas suivre le panneau servant à trouver le marché facilement, Tapéshûr arriva enfin à cette grande place. Une place sur laquelle on peut trouver toutes sortes de races. Par exemple une korrigane discuter avec un nain ou un orc vendre des légumes. Il en avait presque oublié qu’il avait faim.

Il se mis alors a regarder la première étale se présentant à lui. Il n’avait aucune idée de la valeur ni de l’utilité de ces objets. Il n’en avait jamais vu : une sorte de brique, pesant toute fois moins lourd que la pierre, fendue à plusieurs reprises et toujours dans le même sens. Il pris l’objet et le tourna dans tout les sens pour « l’examiner » tout en se grattant le tête. C’est alors que « la brique » s’ouvrit. A l’intérieur des gribouillis et des dessins. L’orc chercha à quoi cela pouvait bien servir :

*Trop pas lourd pour taper…*

, sous le regard amusé des passants et du vendeur qui n’avait encore rien dit, jusqu’au moment où Tapéshûr essaya de le croquer. L’orc s’éloigna alors voyant que sa présence n’était pas souhaitée.
Il continua son chemin et vit, par dessus les personnes devant lui bien plus petites que notre chers bête, une étale où était entreposée de la nourriture diverse et variée. Tapéshûr avança donc droit sur cette étale et se servi devant le vendeur qui n’osa pas interrompre cette bête immense et massive. En faite Tapéshûr ne l’avait même pas remarqué. Il n’avait aucune idée de la suite des événements, étant totalement absorbé pas la nourriture.

Annala sourit de plus belle devant la figure de l'orc. Il parraissait ravit que quelqu'un lui adresse la parole. En même temps, il semblait compréhensible que peu de gens veuillent volontairement, s'apporcher de se mastodonte qui semblait être plus proche de l'ours que de la civilisation.
Elle se remit donc debout et le toisa de toute la hauteur dont elle était capable. C'est à dire de pas très haut et elle leva la tête pour mieux voir son interlocuteur.

Son "KIKOU" ressemblait plus à un grognement qu'autre chose. Néanmoins, il restait compréhensible. Le vide qui s'était formé autour d'eux suite à sa chute se combla à nouveau du va et viens des passants quand ceux-ci vireny qu'il n'y aurait aucune atercaltion réclamant de la violence.

Sous le regard amusé d'Annala, le marchand rangeat précipitement se qui pouvait êtr sauvé de l'apétit féroce de Tapéshûr... malheureusement pour lui, il ne restait pas grand chose.

L'orc enchaîna sur un "Oups" qu'Annala ne comprit pas. Que lui arrivait-il donc? Elle l'observa plus attentivement et remarqua qu'il se décalait légèrement pour la laissser accéder à l'étal. Souriant encore plus, elle s'approcha et saisit deux pommes sur l'étal voisin, avant de les mettre dans son sac. Le marchand ouvrit la bouche pour protester et la garda telle quelle quand il vit avec qui elle devisait aimablement... Mieux vallait fermer les yeux pour cette fois pensat-il.

« Et tu, quoi être tu nom ? »

Croquant dans une des pommes, Annala répondit à cette question, en souriant et la bouche pleine. Oublié les bonnes manières (d'ailleurs elle n'en avait pas tant que ça!!). Cette montagne de muscles et graisses lui plaisait. Et puis, elle aimait bien se faire des "amis" de se genre. Cela pouvait toujours aider en cas de "problèmes" (comme la fois ou elle s'était mis à dos la moitié du village car elle avait ouvert l'enclos des porcs et ou elle n'avait du son salut qu'à la présence de Grörk, un barbare de passage, avec qui elle était devenue amie... -comment on ne sais pas trop mais ce fut utile!-).

"Je m'appeche Annalla"

Quelques postillions s'evolèrent de sa bouche.

"Oups, désolée" reprit-elle en s'éssuyant la bouche.

Décidément elle devait de moins en moins lui paraître civilisée. On pouvait même commencer à se demandé qui était le plus barbare des deux. Quoique...!!

Après avoir posé sa question pertinente, Tapéshûr vit se relever la jolie demoiselle. Il se dit alors que cette personne n’allait pas répondre à sa « question » et allait passer son chemin. Mais elle n’en fit rien. Elle resta là, devant lui, pris une pomme sur l’étale voisine, et répondit à la question de l’orc:

"Je m'appeche Annalla"

Quelques morceaux de pomme broyés volèrent au moment où Annala parla, venant s’ajouter aux bouts de charcuterie coincés entre ses dents. En voila un repas équilibré !!!
Il fut surpris que celle-ci daigne lui parler. Il fut également surpris de cette frasque qu’il n’attendait vraiment pas de la part d’une personne à l’apparence aussi civilisée. Ils avaient en faite plus de points communs qu’il ne pensait. Peut être que dans son cas les apparences sont trompeuses… Mais elle enchaîna quand même d’un

"Oups, désolée"

Mais il n’y avait rien là capable d’impressionner notre orc. C’est vrai qu’il est le mettre en la matière. D’ailleurs cela lui plaisait plus qu’autre chose, procurant une ambiance plus détendue. Tapéshûr lui fit savoir :

« Non être grave, sa être rigolo ! »

Il rigolait donc, pris d’un fou rire benêt, tout en regardant autour de lui se sentant quelque peu observé. Normal ils étaient devenus l’attraction du marché, la soudaine crise d’hilarité de Tapéshûr n’arrangeant rien. C’est alors que, dans son euphorie total, son regard se posa sur l’étrange objet qui avait su attirer son attention auparavant. Son rire cessa et ses grands yeux de brave bête s’ouvrirent laissant deviner le vide complet occupant l’intérieur de son crâne. [HRP] ça donne à peu prés cela [HRP]. Il montra alors du doigt la première étale devant laquelle il s’était arrêté. Tapéshûr questionna donc sa nouvelle amie sur le mystère de sa vie :

« Quoi être ce objet ? Je pas savoir »

Sa question pourrait sembler complètement stupide pour quelqu’un de normal, mais Tapéshûr n’est pas normal…

(hrp : désolée pour le retard)


Annala vit avec plaisir l'orc se mettre à rire et afficher un grand sourir niais. Visiblement, il appréciait qu'elle paraisse moins civilisé. Cela devait sans doute le mettre à l'aise supposat-elle. Par contre les badaus les regardaient de plus en plus bizarrement. Même les marchands des étals alantours avaient reculés après avoir remballés leurs marchandises!! Enfin, elle s'en fichait et bazarda ces remarques d'un petit haussement d'épaule.

Reportant son attention sur Tapéshûr, elle constat que celui-ci avait céssé de rire. Il affichait une drôle de tête. Les yeux grands ouverts sur un regard vide. Comme si ses quelques neurones avait céssé de marcher, ou comme une machine sans vie... Suivant son semblant de regard, elle vit ... un livre! Visiblement cet objet pourtant ordinaire lui posait problème. D'ailleurs la question de l'orc ne se fit pas attendre.

« Quoi être ce objet ? Je pas savoir »

Annala sourit à nouveau et son regard à elle séclaira. Décidément, elle aimait cet orc. Peut-être était ce parce qu'elle n'avait aucun apriori sur cette race un peu particulière. Ou parce que malgré son visage effrayant elle lui trouvait une certaine bonhommie?? Quoiqu'il en soit; elle l'aimait bien.

Elle attrapa l'objet. Il était de belle facture, en cuir avec de belles lettres dorées, pas trop grand. Elle en déduisit que ça ne devait pas être un grimoir qui aurait-été beauoup plus grand et lourd. En l'examinant, elle vit qu'il avait été abimé. Annala regardat plus attentivement et constat avec surprise qu'il s'agissait de trace de dents!!! Regardant Tapéshûr avec de grands yeux, elle fit vite le rapprochement et éclatat de rire. Non pas d'un rire moqueur mais d'un rire franc. Enfin, elle l'ouvrit délicatement. La machoire puissante de Tapéshûr avait réussit à perforer la couverture ainsi que les premières pages mais le reste était intact.

Elle le présentat ouvert à l'orc et expliqua :

"C'est un livre. Quelqu'un y a écrit des choses. Ici, il s'agite de poésies. Je ne pense pas que tu connaisses."

Elle poursuivit, devançant une éventuelle question.

"La poésie, se sont des mots pour faire jolis; pour être doux à l'oreille. Mais il faut savoir lire pour les déchiffrer. Tu sais lire? Moi un peu."

Elle regardat Tapéshûr. Elle éspérait que son éclat de rire n'allait pas le vexer. Et sa dernière question non plus. Elle était sortie toute seule, de même, elle n'avait pas voulu étaler le peu de science qu'elle possédait. En y repensant, si l'orc ne savait pas se qu'était un livre, il ne devait surement pas savoir lire.

*mais quelle gourde!*

Contrairement à se que Tapéshûr craignait, Annala ne pris un ton ni moqueur ni supérieur et sa réaction physique en fit de même. Seulement un léger sourire. Elle savait donc se que c’était, se qui rassura Tapéshûr : son mystère allait être résolu. Il la vit prendre l’objet en main et l’examina sous toutes ses coutures, poussant un rire franc lorsqu ‘elle passa son doigt sur les trace de dent incrusté dans le livre. Elle lui tendit l’objet ouvert devant lui et entrepris une explication :

"C'est un livre. Quelqu'un y a écrit des choses. Ici, il s'agite de poésies. Je ne pense pas que tu connaisses."

"La poésie, se sont des mots pour faire jolis; pour être doux à l'oreille. Mais il faut savoir lire pour les déchiffrer. Tu sais lire? Moi un peu."

Tapéshûr était heureux, il comprenait tous se que disait le jeune demoiselle : elle employait des mots et des construction simples, à la portée de l’orc. Ce moment de bonheur lui fit presque oublier la question d’Annala, qu’il ne trouvait pas du tout stupide, à l’inverse de la jeune femme qui semblait un peu confuse. Il savait d’ailleurs parfaitement quoi répondre :

« Je savoir lire mon nom !!! »

Tapéshûr profitait de ce moment si rare dans sa vie depuis son arrivé. Mais sa joie fut interrompu par la vision du marchant de livre qui s’apprêtais à interloqué avec force Annala pour réclamer le remboursement du grimoire. Mais Tapéshûr ne lui en laissa pas le temps. Il frappa sur l’étale pour renforcer et ponctuer ses prochaines paroles…et fut surpris de trébucher vers l’avant : l’étale n’avait pas résistée et était tombée en morceau. Il se rattrapa au dernier moment et s’adressa avec force au marchant :

« TU PAS EMBETER COPIIIIIINE !!!!!! Je être un garde de Binla ! »

Ses paroles et son ton furent agressifs, mais quoi qu’aurait-ils puent être, le marchand serai quand même parti en courant. En effet il s’était enfui dés le moment où son kiosque fut brisé. Le brouhaha de la foule du marché eu grand peine à couvrirent la voie grave et rauque que Tapéshûr avait pris. Il ne fit d’ailleurs peur pas seulement au marchant mais aussi à tout les passants moqueurs qui les regardaient. Peut-être y était il aller un peu trop fort, non ? C’est en tout cas se que Tapéshûr pensait dés lors où il entendit les deux commères du coin, pas très fraîches d’ailleurs : « et ba, il a de la voie le bougre ! ». L’une rajouta : « j’en ai perdu mon dentier !! »
Il redirigea sont regard vers Annala et passa d’une tête et d’une humeur massacrante, à un air joyeux, dés lors que ses yeux se posèrent sur son amie, affichant son habituelle grand sourire niais. Mais à tout cela vint s’ajouter une petite touche d’inquiétude : il craignait que son petit emportement ait mis mal à l’aise Annala. Il l’interrogea donc :

« Tu vouloir pâtir autre part ? »

, puis après un moment de réflexion :

« Avec ou sans je ? »

« Je savoir lire mon nom !!! »

« TU PAS EMBETER COPIIIIIINE !!!!!! Je être un garde de Binla ! »

Ces deux interventions fusèrent avant même qu'Annala puisse réagir. Elle avait bien vu que le propriétaire du livre allait dire quelque chose mais la fureur avec laquelle Tapéshûr avait réagi lui rappellait bien que ce n'était pas un être normal.
Bien qu'ayant sursautée devant le cri et surtout quand l'étal avait explosé, elle se reprit vite et réagit avec calme. Elle commençat par ranger dans son sac le receuil de poésie. Après tout, le marchand s'était enfuit en courant. Sans préter attention aux gens qui les dévisageaient maintenant sans retenus et avec un mélange de suspision et de crainte dans le regard; elle fouilla rapidement dans les décombre du kioske. Elle en récupérat ainsi le tissu qui servait d'auvant ainsi que deux autres livres miraculés.

Se redressant, elle jetat un regard aux alentour. Les gens reprenaient leurs activités sans pour autant césser de les observer du coin de l'oeil. Nul doute que le marchand soit allé se plaindre à la garde et même si Annla doutait que Tapéshûr sois assez intelligent pour inventer un tel mensonge (je être un garde de Binla), elle se méfiait. Aussi, c'est avec soulageùent qu'elle reçue sa proposition de s'en aller.

Elle afficha un grand sourire et l'attrapa par le poignet avant de l'entrainer hor du marché...

"Allons-y, je ne doute pas que tu sois un garde de Binla mais, je doute que cela t'autorise pour autant à détruire les kioske des marchands. Et ce marchand est surement allé porter plainte ou en tout cas il le fera. Je ne voudrais pas que tu ai une mise.. (elle se reprit, préférant rester avec des termes simple tant qu'elle n'aurait pas une idée quasi-exacte de l'étendue de l'intelligence de son nouvel ami) une punition à cause de moi."

Suite à cette saute d’humeur de Tapéshûr qui entraîna la destruction d’une étalage entière, il se sentais quelque peu ….. observé. Dans un premier temps Annala n’en accorda aucune attention, préférant sauver ce qui pouvait l’être et s’attribuer les biens encore en bonne état pour la modique somme de rien du tout. Mais dans un second temps elle paraissait soucieuse du regard des personnes qui les observaient sans aucune retenue. Quelque chose la tracassait et Tapéshûr en eu la confirmation dés la fin de sa réflexion. Annala lui prit le poignet et l’entraina, pas de force sa c’est sûr, hors du marché. Il eu juste le temps de dire un gros

« AUREVOIR!!! »

bien benêt à toutes les personnes présentes dans le marché. Avait il comprit qu‘il devenait extrêmement indésirable ? Cette action fut accompagné d’un petit discours presque totalement compris par Tapéshûr (il avait zapé la partie sur l’autorisation) :

"Allons-y, je ne doute pas que tu sois un garde de Binla mais, je doute que cela t'autorise pour autant à détruire les kioske des marchands. Et ce marchand est surement allé porter plainte ou en tout cas il le fera. Je ne voudrais pas que tu ai une mise..une punition à cause de moi."

*Partir sinon punition*

Tapéshûr ne savais pas pour quelles raison il pourrait être puni. Faut pas lui en vouloir, il ne le fait pas exprès, et puis il avait quand même l‘idée essentiel des paroles d‘Annala ! Néanmoins il laissa la demi-elfe le guider, aveuglément, vers….eeee…..ba…. il ne le savais pas, ne pouvant pas lire les panneaux indicateurs. Et arriver à la conclusion fort pertinente de lui poser la question ne lui vint même pas à l’esprit. Certaine personne pourraient croire que c’est la confiance plutôt que la stupidité qui en était la cause. Mais même moi, le narrateur et créateur de ce spécimen, ne saurai discerner la bonne.

Annala s'arrêtât enfin. Elle les avait conduit aux milieux des rues, en passant par de petites rues, pour être sure de ne croiser personne. Et surtout pas des membres de la gardes. Levant les yeux, elle vit alors de l'autre côté de la rue, le portail des écuries. Elle sourit, contente d'elle. Puis, elle se tournât vers son nouvel et imposant ami.

"c'est la que j'habite. Ma maison"

Elle espérait que Tapéshûr aurait suffisamment d'intelligence pour imprimer ça. Après l'avoir laissé regarder tout à son aise, elle l'entraînât plus loin encore dans les méandres de la ville. Quand elle s'arrêtât à nouveau, c'était devant les portes immense de la caserne.

"Te voila revenu à la caserne. J'espère que tu n'auras pas d'ennui."

Elle lui fit un dernier sourire et un signe de la main avant de s'enfoncer dans autre rue. Elle n'aimait pas les casernes; en fait, elle n'aimait pas tout se qui incarnait la loi. Et en plus, elle avait sur elle des livres plus ou moins volé...
Au fond d'elle même, elle était contente de sa rencontre. Elle sentait que Tapéshûr ne manquerait pas d'être un ami de poids!!

Le soir commençait à se profiler, aussi se hâta t-elle en direction des écuries; Ihara devait l'attendre.

[HRP : voila, c'est bientôt la fin de notre RP, j'espère que cette fin te convient Tapéshûr. Je pense que tu peux encore réagir une dernière fois si tu veux; A une prochaine fois ]