Débouchant d'un long couloir, décoré de plusieurs fourrures, tableaux et oeuvres extravagantes, une petite salle, coquette, fait office de filtre aux personnes non désirées. Là, un garde, élégamment habillé, vérifie les cartons des personnes invitées à la table de la Reine. Les privilégiés qui ont cet honneur pourront entrer dans la grande salle de bal, faisant aussi office de salle à manger. De nombreuses oeuvres, fruits du travail de Ô combien renommés artistes, décorent, tout en finesse, la large et profonde pièce. Dans un coin, une estrade permet à ceux qui le souhaitent, de danser au rythme des talentueux musiciens. De nombreuses tables sont prêtes à accueillir de nombreux mets, buffets et autres amuses bouches, accompagnés de plusieurs dizaines d'alcools différents, allant de la fine bière rousse au vieil armagnac en passant par la douce boisson des Dieux, l'hydromel Ô combien sucré. Dépendant de cette salle, la cuisine, dissimulée, s'offre aux cuisiniers en hâtent de donner libre cours à leur imagination.
A mi-chemin de la salle de bal et du hall, une porte mène au dortoir de l'Elite Royal, scindé en deux par une fin mur, destiné à séparer les hommes des femmes, si les deux sexes venaient à faire partis de cette Elite. Le dortoir est dépourvu de la plupart de décorations, et se limite à un lit et une commode, pouvant être verrouillé si besoin est. Chaque emplacement peut être individuellement décoré par son propriétaire, au gré de ses envies.